Reconversion professionnelle
Les transitions professionnelles, tendance amorcée depuis de nombreuses années, connaissent à l'heure actuelle une accélération et s'inscrivent dans la durée. Quelles sont les raisons qui poussent à se reconvertir ? Quelles sont les étapes du parcours de reconversion ? Qui contacter ?
Les transitions professionnelles, tendance amorcée depuis de nombreuses années, connaissent à l'heure actuelle une accélération et s'inscrivent dans la durée. La reconversion professionnelle en fait partie, voici une définition :
Évolution de la situation professionnelle qui se traduit par le passage d’un métier à un autre n’ayant pas de rapport avec le premier ou par un changement de statut qui transforme radicalement les conditions d’exercice du métier.
Situations parfois subies, mobilisant un public souvent peu qualifié ; mais également choisies, par un public plutôt stabilisé et d'un niveau de formation supérieur.
La reconversion professionnelle est un phénomène protéiforme qui peut être induit par différents facteurs :
- évolution des technologies traversant tous les domaines de la société et du monde économique à un rythme accéléré ;
- nécessité d'adaptation aux nouvelles compétences ;
- émergence de nouveaux métiers, dans une temporalité inédite dans l'histoire du travail ;
- marché de l'emploi tendu, difficultés de recrutement dans plusieurs secteurs ;
- crise sanitaire, qui a été un tournant pour bon nombre de personnes ;
- recentrage de l'individu sur ses valeurs, ses motivations et le sens à donner au travail qu'il souhaite faire, etc.
Quels ressorts motivationnels ? Quel processus ?
De nombreuses raisons sont à la genèse d'un projet de reconversion. Quelles qu'elles soient, il implique un processus de rupture.
Quelles étapes ? Quels acteurs ?
Comme tout projet, celui de reconversion suit des étapes bien identifiées. Des professionnels de l'orientation accompagnent les candidats à la reconversion tout au long de leur parcours pour le sécuriser.
Quels sont les dispositifs ? Quels secteurs et métiers pour se reconvertir ?
Faire autre chose, évoluer, changer de métier, d'horizon, etc. Comment faire ? Par où commencer ? A-t-on des aides ? Quels sont les secteurs et métiers porteurs pour se reconvertir ? Autant de questions à se poser avant de passer aux démarches concrètes.
Reconversion professionnelle : ressources
Une mine d'informations pour aller plus loin.
[Fond musical]
Animatrice - Bienvenue dans ce nouveau numéro des podcasts de Via Compétences, le podcast au service des professionnels de l'insertion la formation et de l'emploi.
[Extrait d’un reportage - Ce matin, Pauline, 32 ans, a un rendez-vous qui pourrait bien changer sa vie. Après dix ans passés à travailler dans des agences de communication, cette jeune femme s'apprête à tester un tout nouveau métier.]
[Fond musical]
Animatrice - Je suis sûr que vous avez déjà vu un de ses nombreux reportages qui traitent des changements de vie radicaux, mais au-delà de ces images, qu’en est-il dans la réalité, de ce phénomène de reconversion ? Nous consacrerons donc ce temps d’échange et de rencontre à cette thématique. Je suis partie à la rencontre de professionnels, pour tenter de répondre à mes interrogations. Le phénomène de reconversion est-il en augmentation ? Quels sont les impacts de la crise sanitaire sur les parcours de reconversion, mais aussi sur la manière d'accompagner les personnes ? Pour commencer, je me suis d'abord rendu au CIBC Auvergne Rhône-Alpes, qui pilote le marché du conseil en évolution professionnelle sur la région, pour les salariés du secteur privé et les indépendants, pour le compte de France Compétences. L'idée est de commencer par un état des lieux avec notre première invitée, Claudie Béguet. Bonjour, je peux vous laisser vous présenter ?
[Fin du fond musical]
Claudie BEGUET - Bien sûr, donc Claudie Béguet, je suis directrice de projet pour le déploiement du marché du conseil en évolution professionnelle sur la région, c'est un service qui est délivré par le réseau EVA.
Animatrice - Ma première question est assez simple, est ce que vous pourriez nous redéfinir le terme de reconversion.
Claudie BEGUET - Alors j'ai envie de commencer, peut-être, par définir aussi ce qui n'est pas une reconversion. Je pense que, souvent, on a cette idée, quand on parle de reconversion, d'un virage à 180 degrés dans sa carrière, on imagine peut-être le cadre qui va tout plaquer pour prendre un métier plus manuel, peut-être devenir ébéniste ou peut-être reprendre une activité dans l'agriculture. Souvent, on peut avoir cette image-là. Alors effectivement c'est une partie des reconversions professionnelles, mais ce n’est pas la totalité, ce n’est pas ce que ça recouvre ; finalement, une reconversion professionnelle, c'est un moment donné un changement dans sa carrière professionnelle, qui peut être un changement de métier, effectivement. Mais changer de métier, c'est aussi évoluer dans le même secteur d'activité, on a beaucoup d'exemples d'aides-soignantes qui vont vouloir évoluer vers le métier d'infirmière, ou d'infirmières qui vont vouloir passer un diplôme pour devenir cadre infirmier par exemple. Ce sont des exemples de reconversion, une évolution dans son secteur d'activité. Puis parfois, c'est aussi garder son métier mais l'exercer dans un autre contexte, dans une autre situation, un autre secteur et ce qui amène effectivement un vrai changement et peut-être aussi de développer d'autres compétences. Finalement, la reconversion professionnelle, c'est une évolution dans sa carrière, qui peut être effectivement dans le même secteur ou dans un autre secteur, sur le même métier ou un autre métier, et pour terminer sur la définition, je citerai juste une note que vient de sortir France Compétences en janvier 2022 sur les reconversions professionnelles, et qui disait que justement les reconversions ne sont pas réductibles à un changement de métier en dehors de l'entreprise, et ça s'inscrit parfois dans des temporalités très courtes. Et aujourd'hui, on voit bien qu'il y a une partie des reconversions professionnelles qui s'inscrivent dans l'entreprise d'origine du salarié, et qui ne nécessite pas de changement d'entreprise.
Animatrice - Quelles sont les raisons qui poussent les personnes à se tourner vers le conseil en évolution professionnelle et est-ce que la crise sanitaire a eu un impact selon vous ?
Claudie BEGUET - Si on regarde sur l'année 2021, les motifs de sollicitations qui ont poussé les bénéficiaires à nous contacter, il y a justement différents motifs, la reconversion en fait partie mais ce n’est pas le seul motif, on se rend compte qu'il a à peu près 15 % des gens qui nous contactent en nous disant qu'ils souhaitent simplement prendre du recul, faire le point sur leur situation professionnelle, peut-être sans envie plus que celle-ci, mais de prendre du recul. Et puis après, on a des personnes qui souhaitent aussi pouvoir faire reconnaître, adapter leurs compétences, dans une optique aussi d'employabilité ou de reconnaissance de ses compétences ; ça, c'est à peu près 10%, on a à peu près 10% également qui souhaite évoluer vers plus de technicité, plus de responsabilités, et puis ensuite on a les derniers, à peu près 60 %, qui sont vraiment sur des sujets liés à la reconversion, notamment le fait de changer de métier ou changer de secteur (43% des personnes) et, c'est important de le noter parce que c'est quand même une part importante et notamment en période de crise sanitaire, 15% des personnes nous sollicitent par ce qu'ils souhaitent créer ou reprendre une entreprise, et c'est aussi une reconversion : devenir son propre patron, créer son entreprise. Après, vous posez la question de savoir si les motifs ont évolué avec la crise sanitaire, alors bien évidemment oui, on ne peut pas ignorer qu’on a vécu quand même une période de bouleversements et de changements dans notre situation, très forte sur les années 2020-2021, mais tout le monde ne les a pas vécus de la même manière. Finalement, c'est différent d'avoir été en télétravail, par exemple seul chez soi sans enfant, ou peut-être en activité partielle, (ce qui nous a aussi donné du temps pour réfléchir, donner du temps pour se projeter, se demander ce qu'on a envie de faire et ce qu'on a peut-être plus envie de faire) mais on a aussi beaucoup de personnes qui ont vécu le confinement en télétravail avec une charge forte de travail, alors qu'ils avaient peut-être une charge de famille, des enfants à domicile, ce qui ne facilite pas un environnement serein dans le cadre du travail, et qui l’ont vécu de manière très différente. Puis, on a aussi des gens qui ont continué à travailler à l'extérieur, en première ligne, qui ont continué à travailler en extérieur et qui, eux, ont pu se poser des questions sur leurs conditions de travail. Donc finalement, on a vécu tous la même période, mais on l’a tous vécue de manière très différente, et ce qui fait qu'aujourd'hui, on voit tout à fait que les motivations à la reconversion et les motivations des personnes qui viennent nous voir, elles sont très différentes, et on peut pas résumer à un schéma type en se disant : voilà, les gens ont pris du recul, ils souhaitent se mettre au vert, ils souhaitent avoir un métier avec plus de sens.
Animatrice - On a parlé de la crise sanitaire mais justement, comment cette crise, et puis le marché du CEP, ont impacté l'accompagnement ces dernières années ?
Claudie BEGUET - Alors ce qui me vient tout de suite à l'esprit, j'ai envie de dire peut-être le plus fort, ce qu'on a tous connu, c'est l'entrée vraiment massive du distanciel dans nos accompagnements. Nous, en tant qu'opérateur du conseil de l'évolution professionnelle, on a eu aucune rupture de service, mais d'un service qui en janvier 2020 était imaginé majoritairement en présentiel, et puis si la personne le souhaite en distanciel, on est passé, en tout cas dans le premier confinement, à un service 100 % à distance. Ce service 100% à distance, en tout cas dans les autres confinements on a toujours maintenu du présentiel, pour autant on voit qu'il y a eu une demande beaucoup plus forte du distanciel dans les parcours d'accompagnement, et ça impacte aussi la manière dont on accompagne les individus. Aujourd'hui, les personnes (certaines sont en télétravail donc elles n'ont pas envie de se déplacer, elle préfère avoir un rendez-vous en distanciel) : c’est vrai que l'accompagnement a beaucoup évolué du fait du changement de modalité, on ne reçoit plus que les personnes dans son bureau, il y a aussi un beaucoup d'accompagnement à distance, et puis nous on voit aussi qu'il y a des sollicitations très récurrentes des bénéficiaires, par mail par exemple, ou qui nous sollicitent très régulièrement, et il y a un peu une volonté d'immédiateté, on va dire, de la part des bénéficiaires. On a une question, on la pose à son conseiller, et puis on s'attend à ce qu'il puisse y répondre dans la journée, donc ça aussi ça change la manière d'accompagner les personnes. Puis ce qu'on voit aussi, c'est que, encore une fois, il n'y a pas de parcours type : on a à la fois des accompagnements qui prennent du temps, mais finalement après un premier rendez-vous, on leur a donné un certain nombre d'informations et ils ont besoin d'assimiler ces informations, et ils vont revenir 3 mois, 4 mois, 6 mois après, voire un ou deux ans (on commence à voir des gens revenir au bout d'un ou deux ans par exemple). Et au contraire, on a des gens qui viennent nous voir et qui sont très avancés dans leurs projets, et pour lequel il faut que ça aille très vite, parce qu’ils veulent démarrer une formation, ils veulent un financement, et donc il faut pouvoir passer très rapidement en commission pour obtenir le financement de cette formation qui va démarrer trois mois après, par exemple. Donc nous, on s'adapte complètement, il y a une temporalité qui est très différente en fonction des accompagnements.
Animatrice - Je vous remercie beaucoup pour toutes ces informations.
Claudie BEGUET - Merci à vous.
[Fond musical]
Animatrice - Afin de faire avancer notre réflexion je me suis rendu à Transitions Pro à Clermont-Ferrand, un opérateur central pour tous les parcours de reconversion des salariés du secteur privé, où j'y ai rencontré madame Christelle Chaudron. Bonjour est ce que vous pouvez vous présenter et nous présenter Transitions Pro ?
[Fin du fond musical]
Christelle CHAUDRON - Bonjour, Christelle Chaudron, je suis responsable de l'espace territorial de Clermont Ferrand, chez Transitions Pro Auvergne-Rhône-Alpes. Donc Transitions Pro est un organisme qui est piloté par les partenaires sociaux, et qui est engagé en faveur des projets individuels de développement des compétences pour les salariés, pour les aider à réussir leur transition et leur reconversion professionnelle. Mais aussi, pour leur permettre de s'adapter aux besoins en emplois sur le territoire, et sur notre région Auvergne-Rhône-Alpes.
Animatrice - Quel constat faites-vous du post crise sanitaire sur les projets de reconversion et quels impacts pour Transitions Pro ?
Christelle CHAUDRON - Alors, le principal constat qu'on peut faire sur les projets de reconversion en 2021, c'est notamment la hausse de la demande des salariés qui ont franchi le pas de la reconversion professionnelle : on a constaté une évolution importante en termes de mobilisation des dispositifs qui sont gérés par Transitions pro (20% environ d'augmentation de demandes au titre des salariés qui souhaitaient mobiliser le dispositif du projet de transition professionnelle en vue de se former et de se reconvertir, et c’est près de 60 % d'augmentation entre 2020 et 2021 sur le dispositif démissionnaire, donc on voit qu'il y a eu un vrai engouement sur un phénomène de démission des salariés l'année dernière, et on poursuit encore en 2022 la hausse de demandes de titres de ce dispositif. Ce qu'on peut constater, ça a été notamment démontré par de nombreuses études qui sont dernièrement sorties autour des questions de l'appétence à la reconversion, notamment une étude qui a montré qu'un actif sur deux dans notre pays a envie de se reconvertir ou l'a déjà réalisé.
Animatrice - Quels sont les critères de choix pour les financements, et est-ce que ces critères ont évolué ces dernières années ?
Christelle CHAUDRON - Alors, les critères de choix n'ont pas évolué, en tout cas depuis la mise en place du dispositif du projet transition professionnelle, depuis 2019, dans le cadre de l'examen par notre commission paritaire des demandes au titre du projet de transition professionnelle. Les dossiers sont étudiés tous les mois et la commission va examiner trois critères par rapport aux demandes qui sont formulées par les salariés. Le premier critère, c'est le critère de la cohérence du projet professionnel donc là, très concrètement c'est : est-ce que le projet pour lequel la personne démontre dans son dossier qu'elle a une bonne connaissance du métier, des conditions de travail, des caractéristiques et des conditions d'emploi du métier qu'elle va viser ? Le deuxième critère, c'est un critère de pertinence de la formation, et des modalités de financement. Sur ce critère-là, la commission va examiner si le choix de formation du salarié qui est un choix qui est individuel, si c'est la formation la plus pertinente au vu de la mise en œuvre de son projet professionnel, mais elle va aussi examiner si la proposition qui est faite par l'organisme de formation répond exactement aux besoins à travers le bilan de positionnement qui est fait par l'organisme de formation et examiner les modalités de financement du projet de formation. Et le troisième critère d'examen par la commission paritaire des projets au titre du dispositif du projet de transition professionnelle, sont les perspectives d'emploi : la commission va aussi s'attacher à financer des actions pour lesquelles il y a un minimum d'assurance de mettre en œuvre son projet professionnel, donc derrière que les conditions sont favorables pour que la personne puisse se reconvertir, et en faire son activité professionnelle.
Animatrice - Est-ce que vous suivez ce que deviennent les salariés qui se reconvertissent ?
Christelle CHAUDRON - Oui tout à fait, on suit les salariés, et c'est vraiment quelque chose qui nous tient à cœur : savoir ce que deviennent les salariés qui bénéficient, soit d'un financement par Transitions Pro, soit d'une attestation du caractère réel et sérieux pour le dispositif démissionnaire. On s'est doté au niveau du réseau des Transitions Pro d'un observatoire des transitions professionnelles, qu'on appelle l'OTP, qui est aussi accessible sur internet, qui nous permet de savoir ce que deviennent les salariés qui ont bénéficiés d'un financement, et de les interroger, six mois après la fin de leur formation, pour savoir ce qu'ils sont devenus. Ce qu'on a pu constater sur notre dernière enquête, pour notamment les sortants de formation 2020 (donc l'étude pour les sortants 2021 est en cours), pour l’enquête précédente on a des résultats pour lesquels 89 % des salariés qui ont bénéficié d'un financement dans le cadre du projet de transition professionnelle, déclarent soit déjà occupé un lien avec leur formation, soit sont en train de réaliser leur reconversion professionnelle. Une enquête a montré que 94% des salariés qui ont sollicité Transitions Pro ont réellement démissionné, et parmi ceux qui avaient un projet de reconversion formation, 88% d'entre eux ont commencé leur formation. Et pour ceux qui avaient un projet de création d'entreprise, ils sont quand même 94 % à avoir immatriculé leur entreprise suite à la mise en place du dispositif. Donc on voit qu'il y a une réelle mise en œuvre du projet après la mobilisation de Transitions Pro pour l'étude de leur dossier.
Animatrice - Vous avez parlé de nombreux changements, évolutions ces dernières années comment l'accompagnement évolue au regard de ces changements-là ?
Christelle CHAUDRON - Alors l'accompagnement : déjà une petite précision, Transitions Pro n'accompagne pas les salariés dans l'élaboration de leur projet professionnel ou dans leur choix de formation. Cette activité est faite dans le cadre du conseil en évolution professionnelle. Par contre, Transitions Pro propose tout un panel de services recentré autour des dispositifs que gère Transitions Pro : on a une mission également d'information des salariés sur les dispositifs et les outils, les moyens que les salariés ont pour bénéficier de dispositifs de financement pour mettre en œuvre leurs projets de reconversion professionnelle. On appuie également au quotidien les salariés dans la mobilisation des outils, pour leur faciliter la tâche : on a bien entendu en 2020 dématérialisé un maximum de services pour les rendre accessibles pendant des périodes de confinement, et puis en 2021, on s'est plutôt attaché à repenser notre offre de services pour essayer de donner de la plus-value aux services qui étaient en présentiel, et à donner et créer de l'appétence aux salariés de venir rencontrer Transitions Pro. Et on a également travaillé sur des outils numériques, donc on vient de sortir une plateforme numérique qui est la plateforme "MAUDE", qui est la plateforme pour mettre en visibilité les métiers d'aujourd'hui et de demain pour la reconversion professionnelle, qui permet aux salariés qui sont en recherche d'idées de reconversions de pouvoir avoir des informations sur les métiers pour lesquels il y a le plus de tensions et de besoins en recrutement sur notre territoire en région Auvergne Rhône-Alpes, qui leur permet également de trouver l'offre de formation correspondante, qui est ensuite éligible dans le cadre du dispositif PTP, et de facilement prendre contact avec leur conseiller en évolution professionnelle.
Animatrice - Je vous remercie pour toutes ces informations
Christelle CHAUDRON – Je vous en prie
Animatrice - À bientôt
[Fond musical]
Animatrice - Je ne sais pas vous, mais de mon côté j'ai déconstruit pas mal d'idées reçues sur la reconversion, et j'en remercie mes invités. J'espère que ces échanges vous serviront à nourrir vos réflexions et vos pratiques d'accompagnement, quel que soit votre secteur. Et n'oubliez pas : vous pouvez orienter vos publics vers la rubrique « faire une reconversion professionnelle » de notre nouveau site Côté Formations : ils y trouveront des conseils et des ressources pour mener à bien leur projet.
C'est la fin de cet épisode, et je vous retrouve pour un dernier numéro fin juin pour clôturer cette série consacrée à la diversité de l'accompagnement des personnes dans lequel nous parlerons du CEJ, le contrat engagement jeunes.
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